Imprimatur rocks ? Évidemment ! Tu crois que la naissance du journal de l’école à la veille des 70s est une coïncidence ? You fool. Le journal des étudiants de l’école de journalisme s’est écrit aux sons des Strychnine ou des Standards, et dans les salles surchauffées du festival Sigma. Cinquante ans plus tard, le cuir s’est peut-être élimé, mais l’esprit de la rédaction reste toujours polisson.
À la veille du festival Bordeaux Rock, la rédaction lâche les chiens et revient aux fondamentaux. En quinze ans, les organisateurs se sont donné pour mission de ressusciter la mémoire du rock bordelais des années 70. Cinq jours et douze lieux dont la mythique Salle des Fêtes du Grand Parc, pour porter la soixantaine de groupes qui, s’ils ne se ressemblent pas, partagent tous l’amour du riff. Parce que le rock, ce n’est pas que des solos hallucinants et des voix éraillées par le tabac. Pas d’étiquette ! Le mouvement casse les barrières et les genres. De la pop à l’électro, qui osera dire qu’il ne s’en est jamais inspiré ? A la rédac’, ça se fritte sur la définition mais tout le monde s’accorde sur une note : l’Imprimaturweb du 23 janvier doit transpirer le rock ! Nos rédacteurs n’ont pas eu peur de s’encanailler pour vous concocter une programmation qui claque. Car s’il y en a une qui est aussi libre que transgressive c’est l’actualité.
En première partie de concert, à midi, la revue de presse alternative de Laura et Clément suivie de la rencontre exclusive entre Francis Vidal, fondateur du festival Relâche et Valentin et Romain. Back to the past avec Dorine, aux racines du rock bordelais. Clara vous fait découvrir Cosmopaark et Th Da Freak deux groupes montants de la scène bordelaise. Enfin, follow the lead de Julie pour ne rien rater des meilleurs concerts du festival.
Faites cracher les amplis, vissez votre casque et montez le volume, les 18 rédacteurs partagent leur playlist rock au fil de la journée.
Stay tuned !
An-Nam et Julie.