À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, ce mardi 8 mars, Imprimatur lance une série de cinq portraits.
Rangez les roses et la galanterie. La Saint Valentin est passée et certains ont encore tendance à confondre… Aujourd’hui, c’est de lutte pour les droits dont on parle ! La célébration de cette journée restera tristement nécessaire tant que l’égalité homme-femme n’est pas atteinte. Et vu le travail qu’il reste à accomplir, il est bien malheureux de se cantonner à une simple journée.
Galvaudée, récupérée, la Journée des droits des femmes a parfois du mal à retrouver la force de son message initial. Presque de quoi faire oublier que la mobilisation est quotidienne, locale et n’attend pas le sacro-saint 8 mars. Les militant-e-s passent plus de temps à lutter contre les saillies sexistes sorties pour l’occasion qu’à faire bouger les lignes.
Cette année encore, la même rengaine ; du très maladroit « femme qui fait un métier d’homme » à l’énième émission « spécial femme » en passant, évidemment, par la récupération commerciale. Les temps sont plus au divertissement et à la consommation qu’à la lutte pour les droits et l’égalité.
A Imprimatur, on a donc décidé de donner la parole à cinq femmes, cinq trajectoires, aussi ordinaires qu’extraordinaires. Chaque jour, à 16 heures, retrouvez un portrait d’une madame Toutlemonde, d’une grande dame, d’une militante, d’une travailleuse, d’une citoyenne, jeune, âgée, bordelaise, mère, fille, peu importe… Retrouvez le portrait d’une femme avant tout.
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La rédaction